Portrait photographique

Même quand j’étais un petit garçon, j’étais très attiré par ces petites choses noires et techniques appelées appareils photo. À cette époque, mon père possédait un appareil photo reflex analogique de la marque Minolta (modèle X-500), dont j’ai hérité et qui fonctionne toujours parfaitement comme au premier jour. Je ne sais plus vraiment ce qui avait suscité mon intérêt à l’époque. Je pense que les aspects de l’époque sont encore similaires à ceux d’aujourd’hui.

Lorsque j’ai gagné mon premier argent personnel grâce à un emploi de vacances chez un maraîcher, j’ai acheté un appareil photo numérique d’une capacité incroyable de 2 mégapixels. C’est avec cet appareil que j’ai eu ma première expérience de la photographie et que je suis tombé sous son charme, qui dure encore aujourd’hui. Après avoir terminé mes études, j’ai commencé un apprentissage de relieur industriel et j’ai travaillé dans ce secteur pendant plusieurs années. À cette époque, je me concentrais principalement sur la documentation de mes vacances à l’étranger et sur la photographie de voitures. J’empruntais souvent un appareil photo reflex numérique Nikon à mon père et je devais toujours le ramener en un seul morceau, car il n’était pas toujours au courant. Ce n’est qu’en 2015, alors que j’avais 25 ans, que je me suis acheté mon premier DSLR numérique. Comme j’ai pratiquement grandi avec Nikon, il était évident que ce serait à nouveau un Nikon. Ce n’est qu’à partir de ce moment que j’ai commencé à m’intéresser de manière intensive à la photographie. J’ai commencé à lire des livres sur la photographie, j’ai regardé des heures de vidéos « comment faire » sur YouTube, puis j’ai essayé de mettre en œuvre ce que j’ai vu. Si cela ne fonctionnait pas, j’essayais encore et encore jusqu’à ce que je sois satisfait et que l’image corresponde à ce que j’avais dans ma tête. C’est ainsi que la photographie et tout ce qui l’accompagne sont devenus une passion et un amour qui bouillonnent encore après toutes ces années et me procurent de la joie presque tous les jours. Je ne suis pas un expert au sens professionnel, je ne dois pas ou ne peux pas encore en vivre et je fais cela à temps partiel et en complément de mon travail dans le marketing.

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